Jérémie Jardonnet

Jérémie JardonnetAssocié

Après des études réalisées à Nancy, Londres et Paris et l’obtention de deux Master 2, Maître Jérémie Jardonnet intègre plusieurs organisations syndicales et cabinets d’avocats de renom pour intervenir sur les questions d’emploi, de ressources humaines et de relations sociales.

Maître Jérémie Jardonnet a privilégié une alternance dans ses expériences professionnelles, pratiquant ainsi dans des grands cabinets ou à taille humaine, assurant la défense des salariés, instances représentatives du personnel et syndicats, soit des cabinets à taille humaine.

Maître Jérémie Jardonnet dispose d’une pratique du conseil et du contentieux mûre, réfléchie et anticipative et d’une expertise reconnue dans les contentieux dits « collectifs » (réorganisation, PSE, contestation des expertises du CSE, etc.). Il intervient plus généralement en droit social : droit du travail, droit administratif du travail, droit pénal du travail, droit de la sécurité sociale, droit de la protection sociale complémentaire.

Auteur de nombreux articles dans des revues juridiques spécialisées, Maître Jérémie Jardonnet allie théorie et pratique, pour être au cœur de l’actualité.

Il anime régulièrement des colloques, formations et séminaires.

  • Droit du travail
  • Droit de la sécurité sociale
  • Droit de la protection sociale
  • Droit pénal du travail

Master 2 Droit des affaires – option droit social – Paris 2 Panthéon-Assas

Master 2 Juriste d’Affaires International et Européen – Nancy 2

Mémoire : « Les discriminations religieuses dans les relations de travail en droit français et anglais »

Magistère de Juriste d’Affaires Interne et Européen – Nancy 2

Paris

Français, Anglais

La contestation des honoraires des experts du CSE, Les Cahiers Lamy du CSE (2022) ;

Le droit d’accès de l’expert du CSE aux documents de l’entreprise, Les Cahiers Lamy du CSE (2022) ;

Fête de Noël : un CSE averti en vaut deux !, Les Cahiers Lamy du CSE (2021) ;

Comment gérer les budgets et les dépenses du CSE ?, Les Cahiers Lamy du CSE (2021) ;

L’obligation de discrétion et de secret professionnel des membres du CSE, Les Cahiers Lamy du CSE (2021) ;

Le droit d’alerte en cas de « danger grave et imminent », un outil dont le CSE doit se saisir, Les Cahiers Lamy du CSE (2021) ;

L’importance de la réorganisation justifie l’information et la consultation du CSE, si tant est qu’elle ne soit pas encore mise en œuvre…, Les Cahiers Lamy du CSE (2021) ;

Comment le CSE peut-il utiliser l’index égalité femmes-hommes ?, Les Cahiers Lamy du CSE (2021) ;

La Cour de cassation traite du sort des dépenses liées à l’achat, par le CSE, d’appartements loués en partie aux salariés, Les Cahiers Lamy du CSE (2021) ;

Comment aménager les délais d’information et de consultation du CSE ?, Les Cahiers Lamy du CSE (2020) ;

L’ennui au travail est constitutif d’un harcèlement moral, Les Cahiers Lamy du CSE (2020) ;

Reclassement du travailleur handicapé déclaré inapte et licenciement discriminatoire, Dalloz actualité (2020) ;

L’acceptation claire et non équivoque de la clause de non-concurrence, Dalloz Actualité (2020) ;

Périmètre d’intervention du CHSCT de l’entreprise de travail temporaire, Dalloz actualité (2020) ;

Le droit d’alerte du comité d’entreprise : un déclenchement souple pour une efficacité optimale, Droit Ouvrier (2019) ;

Contestation des expertises CHSCT : fallait-il estimer que le juge est saisi au jour de la délivrance de l’assignation ?, Droit Ouvrier (2018) ;

La jurisprudence Framatome-Majorette : épilogue ?, Revue Droit du Travail (2018) ;

Protection des salariés ayant relaté des faits de harcèlement moral : mettre les (bons) mots sur les maux, Droit Ouvrier (2017) ;

Piqûres de rappel : prescription de l’action en justice, ancienneté du salarié dont les CDD sont requalifiés en CDI et assistance de l’employeur lors de l’entretien préalable au licenciement, Droit Ouvrier (2017) ;

Maladie et congés payés : La Cour de cassation vide l’assiette des salariés, Droit Ouvrier (2017) ;

Une nouvelle détérioration de la protection de la partie faible au contrat de travail : l’existence d’un préjudice et l’évaluation de celui-ci relèvent du pouvoir souverain d’appréciation des juges du fond, Droit Ouvrier (2016).

« L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit » – Aristote